L'AVenir de la Vie pour Tous Pour l'Humanité Naturellement Assistée entre Hommes et Femmes
Related Articles
Notre demande citoyenne d’aide de l’Eglise, pour remplacer le mariage civil LGBTQIA+ par une union CIVILE de même sexe indépendante du mariage civil procréatif entre l’homme et la femme devient, à Noël et dans l’Eglise, une sorte de “PACS LGBTQIA+ catholique” par une bénédiction religieuse indistincte entre les couples Homme-Femme fertiles et les couples homos infertiles entre eux, entre les couples mariés civilement et les non-mariés, entre les couples chastes et les couples actifs, entre les moyens de procréations bio-humains et la reproduction techno-marchande des enfants.
Ce qui subsiste c’est le maintien (provisoire) d’une union non sacramentelle qui n’est pas un mariage LGBTQIA+ catholique : hors rite et devant les églises.
Pour écouter l’émission en entier sur Radio Courtoisie cliquez ici
Ce mercredi 27 décembre 2023, en la fête de Saint Jean l’Evangéliste, Jean-Edouard Kerbidi invitait à nouveau notre déléguée générale sur Radio Courtoisie, ce dont nous les remercions vivement.
« Qui change le mode de procréation d’une espèce, efface toute l’espèce à venir »
L’émission étant enregistrée le lundi 18 décembre, deux heures après la publication de la déclaration doctrinale « Fiducia Supplicans » et une semaine exactement avant le 25 décembre, jour de Noël, Virginie Tellenne en a profité pour rappeler le travail de L’AVenir pour Tous depuis 11 ans, et notamment, sa supplique à l’Eglise et au pape François (cf. photo ci-dessus) de bénir leur action d’influence pour convaincre le législateur laïque d’instaurer une union civile homosexuelle réservée aux couples de même sexe infertiles, et donc différente du « PACS pour Tous » et/ou du « Mariage pour Tous », appliqués indifféremment aux couples fertiles et aux couples homos infertiles entre eux, ce qui efface juridiquement le principe biologique de procréation sexuée.
En effet, ces deux régimes conjugaux légalisés pour les couples de même sexe incluent, donc indifférencient, donc effacent les couples homme-femme naturellement procréatifs en leur appliquant ce nouveau statut reproductif artificiel de « Fécondation In Vitro de semences anonymes pour tous », en commençant par les couples et les personnes fertiles. Ce statut qui impose des semences anonymes, des FIV et des GPA aux couples de même sexe est donc étendu aux couples naturellement fertiles – et non l’inverse – par le marché mondial techno-OGM-numérique, qui ainsi réduit, avant disparition, la procréation naturelle endogène, entre l’homme et la femme pour leur enfant. Cette trinité biologique est la base-même de la religion chrétienne, qui l’a sacralisée par la venue de Jésus, fils de Dieu, par Marie avec Joseph pour l’élever.
Ces statuts civils LGBTQIA+, c’est-à-dire non-HF, jusqu’à aujourd’hui non-religieux, effacent physiquement la sexuation homme-femme là-même où elle est fondatrice de notre espèce humaine : dans la procréation sexuée garante de notre unicité, de notre autonomie et tout simplement de notre survie, aujourd’hui gravement menacées par la post-Humanité LGBTQIA+, techno-numérique, wokiste et galopante.
La bénédiction religieuse indistincte des deux types de couples indifférenciés indifférencie du même coup l’identité sexuée des couples, la pratique sexuelle, chaste ou non, bio-procréative ou techno-reproductive de ceux-ci, validant ainsi cette techno-transHumanité reproductive via l’Eglise elle-même. Certes l’irrégularité des situations ne sont pas incluses dans le sacrement du mariage, mais cela ressemble furieusement à la première étape qu’a été le PACS avant d’aboutir au mariage Taubira !
En Italie, une crèche LGBTQIA+ a été installée au pied de l’autel, à la suite de la déclaration Fiducia supplicans !
Dans l’émission ci-dessus, Virginie Tellenne s’est naturellement appuyée sur la Nativité récente du Seigneur et Divin Enfant, Lui qui est venu sacraliser notre bioHumanité, créée par Dieu, réalisée par sa mère Marie et nourrie par son père éducatif, Joseph. Dès lors, comment ne pas s’étonner que l’enfant nommé par son Père Emmanuel qui signifie « Dieu parmi nous », Lui, le Chemin, la Vérité et la Vie de notre religion bi-millénaire, soit en ce jour-même de son envoi sur terre par Dieu, remis en cause par l’Eglise elle-même dans sa venue entre l’homme et la femme indifférenciés par la bénédiction du couple de même sexe ?
Cet amalgame confus et généralisé a pour but d’importer cette transHumanité LGBTQIAZ+ devenue droit positif laïque et wokiste (1) dans le droit canon du tout nouveau Dicastère pour la Doctrine de la Foi. Avant de reconnaître, comme dans l’Eglise protestante, le mariage des prêtres, y compris de même sexe !
Le 17 décembre dernier, veille de la publication de Fiducia supplicans, deux femmes révérendes en couple ont été bénies dans l’Eglise anglicane.
Merci à Virginie Tellenne, pour cette nouvelle année, de faire le point sur ce qui apparaît dès lors comme la transition vers la non-humanité de notre bioHumanité, que nous ne voulons pas voir activer par l’Eglise, car il en sera fini de nous tous, bio-Humains, et le 3ème secret de Fatima n’en sera plus un !
L’AVenir pour Tous à l’inverse invite, avec l’union civile réservée aux couples de même sexe, à reconnaître sans exclure, en restant bien conscients que seule l’extension de la procréation sexuée aux couples de même sexe permettra de sauver notre espèce humaine.
(1) insitutionnalisée par la loi Taubira de mariage de même sexe du 17 mai 2013 et par la loi de reproduction par FIV de semences anonymes pour toute personne fertile du 2 août 2021
Si vous aussi vous voulez sauver notre bioHumanité Homme-et-Femme face à la techno-transhumanité galopante, il faut le faire de façon civile, dans toutes les formes de familles : catholiques ou non, homosexuelles ou non, célibataires ou non.
Nous proposons depuis 11 ans en opposition à la loi Taubira de re-fonder toute notre législation sur le primat de la procréation biologique, naturelle comme aidée, de notre Humanité : elle a été juridiquement abolie en 2013 par la loi Taubira de « mariage pour tous » LGBTQUIA+ et achevée par la loi de FIV anonyme pour toute personne et couple fertile en août 2021.
Rejoignez la nouvelle Arche bioHumaniste de L’AVenirpourTous
MERCI DE VOTRE DON DE SOUTIEN,
fiscalement déductible à hauteur de 66%
MERCI ET
BONNE ANNÉE À TOUS !
NOTRE PROGRAMME POUR 2024
Pour rétablir la procréation biologique entre l’homme et la femme de façon universelle, et avant qu’il ne soit trop tard, il faut :
– fonder juridiquement la distinction procréative entre les couples de même sexe structurellement stériles et de sexes homme et femme naturellement fertiles, par une union civile homo différente du mariage entre l’homme et la femme, lui-même inscrit dans la constitution.
Il y remplacera l’IVG, et rétablira la sexuation homme et femme au plus haut niveau de notre droit positif !
– rétablir toutes les filiations biologiques des enfants sur tous les actes de naissance, y compris dans les familles homoparentales et hétéros STÉRILES.
Il faut rendre le recours aux semences anonymes OPTIONNEL et non plus OBLIGATOIRE, en supprimant leur OBLIGATION sanctionnée pénalement, et organiser le cadre d’une éducation bio-parentale choisie devant notaire;
– depuis 2021, la fécondation in vitro (FIV) séquençant et permettant la modification de l’ADN en laboratoire est devenue universelle, y compris pour les couples fertiles ! Il faut à nouveau la conditionner aux seuls cas de stérilités et de maladies congénitales dans tous les couples, homos comme hétéros. Concrètement pour les modes de procréation artificielle, il faut sortir d’urgence du marché des FIV anonymes OGM en :
– autorisant l’option du donneur-ami de sexe opposé et l’identifier sur l’acte de naissance (ceci est strictement interdit aujourd’hui);
– privilégiant la relation sexuelle dans les couples homme-femme et chez les célibataires, et l‘insémination chez le gynécologue avec parent-donneur connu présent pour les homos, les couples stériles et les célibataires refusant la relation sexuelle;
– et en rendant à la FIV sa seule vocation palliative de la stérilité totale et/ou de la transmission de maladies congénitales à la génération future.